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Devoir Honneur Sagesse

29 décembre 2016

Devoir, Honneur, Sagesse,

Cher amis, ches compatriotes,

Une fois n'est pas coutume, je me permets de recycler un vieux blog qui avait quasiment disparu, noyé dans le magma chaotique de l'absurdité en ébullition.

Je souhaite commencer par vous expliquer son titre " Devoir, Honneur, Sagesse".

En effet, de libertés, vous n'en avez plus ; nous n'en avons plus. Les médias parlent peu des prisonniers politiques en France. La propagande étatique s'étale sur les supports papiers ou sur les supports numériques. Les penseurs dissidents sont au mieux ignorés, au pire condamnés dans les tribunaux et, si possible, ruinés ou jettés en prison... Une démocratie ? Quelle démocratie ? Les votes d'une petite moitié d'un peuple à qui l'on ment, et à qui l'on fait de vaines promesses ? Les élections 2017 n'ont pas encore commencé mais il est certain qu'elles se termineront en fiasco et le peuple en subiera les conséquences... Le peuple français mais aussi les autres peuples infectés par cette religion d'un dieu qui ne dit pas son nom, car son nom est légions. Mais Mammon est l'un de ses dieux les plus adorés. Oignez vos yeux aveugles, et vous verrez que vous êtes esclaves d'une société qui vous méprise, esclaves d'une société de consommation, esclaves d'une culture de l'aculture, esclaves de pulsions animales encouragées par un système qui se félicite de détourner votre attention loin de lui. Voyez que l'Homme ne peut pas être libre et ne peut pas attendre que tout lui tombe tout cuit dans la bouche. La liberté de chacun s'arrête là où commence celle des autres. Nous n'avons que des devoirs les uns envers les autres, envers le monde. Nous devons cesser de détruire les autres et notre monde. C'est seulement à ce prix que nous pourrons nous affranchir.

Egalité ? Il apparaît que l'occident est décadent. Toutes les preuves sont là pour qui veut les voir, mais il n'y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir ! L'occident est décadent sur tous les plans : culturel, social, économique, financier, industriel, technologique, religieux, etc. Pourquoi donc ? J'ai posé la question à des personnes intelligentes - mais surtout qui avaient probablement des visions faisant appel à d'autres cultures. Il en est ressorti que vraissemblablement les occidentaux n'étaient plus à l'écoute de leurs intellectuels. Il suffit de regarder les présentateurs des émissions télévisées en 1960 et maintenant : le contraste est saisissant. L'occident regorge d'intellectuels... que l'on n'écoute pas. Pis : ils sont méprisés autant socialement, que financièrement d'ailleurs ! En outre, il me semble que le plus délétère vient du refus total de toute autorité, y compris l'autorité d'un intellectuel qui donnerait ses conseils à ses concitoyens. Relisez bien cette dernière phrase qui susciterait tant de colère parmi les foules ; elle est pourtant vraie. De tous temps, l'humanité a connu des savants, des sages, des philosophes, des génies. Et ce sont eux qui ont fait avancer le monde, par bonds successifs. Or l'égalité a voulu gommer nos différences, les nier. L'égalité républicaine s'oblige à couper tout ce qui dépasse et à détruire tout ce qui déborde, afin de niveller le plus près possibles des pâquerettes. S'obliger à nier nos différences dans le seul but de tolérer l'autre est la plus grande manifestation du racisme ambiant.

Quant à la fraternité, il ne sera pas nécessaire de faire une démonstration sur sa disparition, sauf dans les rangs des sectes qui ont inventé la devise officielle française. En réalité, notre monde actuel est plongé dans le plus sordide des individualismes.

Ainsi, je m'effraie de voir des hommes patriotes se diviser tandis qu'ils partagent le même dessein : sauver leur nation. Toutefois l'enjeu est plus grave encore, il va désormais falloir sauver l'homme. Ce sera difficile mais nous en sommes capables.

Le déni est toujours source d'erreur, même s'il permet de se sentir bien lorsque tout va mal. Cependant lorsque le rideau tombe, le spectacle peut horrifier. Sans rentrer dans les détails, je terminerai en rappelant que les médias nous avaient prédit plusieurs fois la fin du monde en 2016. D'abord, lors du Brexit - qui a eu lieu -, puis de l'élection de Donald Trump - qui a eu lieu -, puis lors du "non" au referendum italien - qui s'est réalisé... Et je ne parlerai pas des autres mauvaises augures : augmentation des taux d'intérêt, situation critique de la Deutsche Banke, immigration...

Oui tout cela était prévu. Nous vous avions prévenus. Nous n'avons aucun regret à avoir d''avoir dit la vérité malgré les colibets.

2017 sera donc encore une fois l'année du choix : cigale ou fourmi ?

2017 sera l'année où les Français assumeront leurs choix : Mitterand, Chirac, Sarkozy, Hollande ou l'abstention... Quant aux patriotes, aux résistants - mais ils sont si rares -, ils pourront terminer l'année 2017, comme ils l'ont fait en 2016, la tête haute...

Je vous souhaite, quel que soit votre choix, de bonnes fêtes et une bonne année 2017 !

Damien

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18 février 2013

Calendrier du marché transatlantique

16 février 2013

Vague de suicides en prévision ?

Je regardais ce soir un petit film d'horreur "pulse" dans lequel des jeunes se suicidaient pour une raison mystérieuse... Il m'est venu une question sotte : pourquoi se suicide t'on ? Et il m'est venu une réponse originale : c'est un comportement instinctif ( donc naturel ). Dans ce cas les animaux aussi devraient se suicider. J'avais entendu par le passé des histoires de suicides d'animaux ( lemmings, chiens, etc. ). Bizarrement en regardant sur internet, on ne trouve pas grand chose, comme si l'on voulait que le suicide soit le propre de l'homme. Mais il n'y a pas de preuve ni d'expérience justifiant que le suicide soit uniquement humain, au contraire ( voir ci-dessous ). Au mieux, l'homme utilise des façons plus élaborées de se suicider, il me semble. Cette attitude humaine de rationalisation, de déni, de vanité, et de sublimation n' fait que renforcer ma conviction. Il est en effet étrange de dire que l'acte de se suicider nécessite une grande réflexion. Et franchement il n'y a pas de quoi se vanter à se croire le seul être vivant à pouvoir SE tuer ! En fait, croire que le suicide est purement humain repose sur l'idée que le suicide est guidé par la raison. Toutefois, en pratique, les personnes qui ont tenté de se suicider n'ont pratiquement jamais d'explication raisonnable de leur geste. De plus, les personnes qui parviennent à se suicider laissent toujours derrière eux des personnes qui ne comprennent pas ce geste ( car elles essaient avec leur raison d'expliquer une chose qui par essence ne l'est pas, mais est le fruit d'un instinct, d'une pulsion ).

J'émets l'hypothèse que la perte des répères ( sociaux, traditionnels, culturels, professionnels ou familiaux ) engendre de manière instinctive une désorientation du sujet, source d'angoisse et de souffrance. En oubliant les explications pseudo-rationnelles ( psychanalytique ), je suggère de réfléchir au caractère instinctif du suicide, après une phase plus ou moins longue de déstabilisation de l'individu, que l'on appelle dépression, et qui est à la fois la conséquence du décrochage entre l'être vivant et la réalité, et la phase préparatoire vers le suicide. C'est d'ailleurs très net chez les dépressifs ou suicidaires qui dépriment ou veulent se suicider sans parvenir à fournir d'explication... J'émets ensuite l'hypothèse que plus l'animal ou le sujet est grégaire, plus le comportement suicidaire sera fort au moment de la disparition de son entourage.

Or qui est plus fort que l'autre : la raison ou l'instinct ? Il vous suffit pour y répondre de regarder un film d'horreur. Bien que votre raison vous assurera qu'il ne s'agit que d'un film, que le scénario est idiot, que les évènements sont improbables, que les effets spéciaux sont mauvais et que les acteurs jouent mal, néanmoins un bon film d'horreur présentera quelques scènes horribles ( morts, sang, violence,... ) avec une musique et des sons adéquats, qui susciteront une réaction de peur chez vous. De manière instinctive, involontaire, vous allez secréter diverses hormones de la peur. Citons à titre d'exemple l'adrénaline et le cortisol. Cette sécrétion se fait de manière naturelle, immédiate et consécutive à un stimulus effrayant ( par exemple un grand BOOM ) même si ce stimulus est artificiel car si votre raison le sait, la partie la plus profonde et archaïque de votre cerveau, le cerveau reptilien, ne le sait pas... Ainsi alors que le film sera fini, vous vous rendrez compte que vous serez dans un état d'alerte même si ledit film était un navet... Il en va de même dans la vie en société où les stress quotidiens, même s'ils sont critiqués par la raison, laissent des traces hormonales qui auront leurs conséquences à court et long terme ( cela va de l'hypertension à l'infarctus du myocarde, en passant par l'anxiété, la dépression, l'insomnie, la fatigue, etc. ).

Et si je me permets d'écrire ces lignes qui sont peut-être des évidences, c'est pour expliquer ce que personne n'explique : l'accroissement du taux de dépression et de suicide. Ainsi il est normal que puisque les dernières décennies ont engendré en un temps record la destruction progressive des tissus sociaux, familiaux, professionnels, environnementaux, traditionnels, culturels, religieux, les individus de la société se sentent perdus, comme pris au piège, en confrontation permanente avec de nouveaux changements qu'ils ne peuvent biologiquement ou intellectuellement intégrer. Cela explique aussi la vague sociale qui cherche un "retour aux sources", un "retour aux racines".

Par conséquent, compte tenu des changements radicaux qui viennent, et que le peuple ne veut pas ou ne peux pas tolérer, je m'inquiéterai des dépressions et suicides à venir si notre société persiste à vouloir effacer, remanier l'identité des peuples.


http://la-rubrique-de-flo.over-blog.com/article-suicide-chez-les-animaux-50964138.html

Suicide chez les animaux
On convient généralement dans le monde scientifique de refuser aux animaux la capacité de mort volontaire. Si l’on admet, selon les diverses définitions, que le suicide est un acte de décision libre d’un être qui s’enlève la vie en pleine connaissance des suites mortelles de son geste, force est de conclure que l’animal n’a pas le pouvoir de mourir volontairement. Parler en termes de suicide chez un animal, c’est se trouver en flagrant délit d’anthropomorphisme. Il y a pourtant chez les animaux des comportements menant à la mort qui manifestent des convergences de structure avec les conduites suicidaires des humains. Cela dit, le monde intérieur des animaux demeure encore si mal connu que la prudence est de mise dans nos affirmations. Ainsi, il arrive qu’un chien traverse la rue le jour de la mort de son maître et se fasse happer par une automobile. Simple accident? Ou qu’il se laisse mourir de chagrin au décès de son maître. En revanche, il ne semble pas y avoir chez les animaux des stratégies suicidaires planifiées, tout au plus des suicides passifs. Le chien, animal social et domestique, tient son maître pour le chef de sa meute. Si son maître disparaît, il perd ses repères d’appartenance.

Dans la perspective d’une
éthique qui considère les animaux non seulement de façon holistique, en tant qu’éléments appartenant aux espèces et aux écosystèmes, mais aussi comme individus qui souffrent, l’attention sera portée sur leur capacité ou non de mettre fin à leur souffrance en s’infligeant la mort. Sutapa Mukerjee rapporte qu’une femelle éléphant s’est laissée mourir de faim dans un zoo du nord de l’Inde après la mort de sa compagne d’enclos (Associated Press, Lucknow, Inde, 6 mai 1999). Damini avait passé vingt-quatre jours à pleurer et n’avait ni bougé ni bu ni mangé depuis la mort de Champakali pendant son accouchement. Dans un premier temps, elle est restée immobile, puis ses jambes n’ont pas tenu. Ensuite elle s’est allongée sur le côté, la tête et les oreilles baissées, la trompe recourbée et fixant le personnel avec des yeux tristes. Damini avait dorloté Champakali et l’avait accompagnée pendant sa grossesse. Sa conduite «suicidaire» est la conséquence de la souffrance causée par le deuil . La perte douloureuse de sa compagne l’a conduite au jeûne et à la mort. D’autre part, certains animaux semblent se livrer à une sorte de suicide collectif. C’est le cas des lemmings, petits mammifères rongeurs des boréales, qui se jettent parfois à la mer par centaines. Ce phénomène se produit en temps de surpopulation de l’espèce quand des groupes se forment afin de migrer vers de nouveaux territoires. Lorsque, durant leur migration, ils arrivent à la mer, ils la confondent instinctivement avec une rivière ou un lac, ils nagent jusqu’à l’épuisement et finissent par se noyer. En l’an 2000, près de six cents tonnes de langoustes se sont échouées sur la plage d’Elands Bay, à quelque 160 kilomètres au nord du Cap. Selon les experts de l’environnement, elles se sont poussées hors de l’eau de l’Atlantique par manque d’oxygène. On appelle «marée rouge» ce phénomène qui se reproduit assez régulièrement.

15 décembre 2012

Où est la justice sociale ?

Trouvé sur internet :
 
- Où est la justice sociale quand on repousse l'âge légal de la retraite alors que tout
étranger de 65 ans n'ayant jamais travaillé ni cotisé en France, a droit à une retraite
de 780 euros par mois dès son arrivée ?
 
- Où est la justice sociale quand une femme de paysan ayant travaillé 50 ans à la
ferme, n'a pas droit à ces 780 euros au prétexte que son mari et elle dépassent le
plafond de 1200 euros de minimum vieillesse pour un couple ?
 
- Où est la justice sociale quand la sécu en faillite continue de payer à l'étranger,
sans le moindre contrôle, des retraites à d'innombrables centenaires disparus depuis
des lustres ?
 
- Où est la justice sociale quand l'Aide Médicale d'Etat soigne 220000 sans papiers
chaque année, à raison de 3500 euros par malade, alors que la sécu ne dépense « que »
1600 euros par affilié qui travaille et cotise ?
 
- Où est la justice sociale quand des étrangers bénéficient de la CMU et d'une mutuelle
gratuite, alors que 5 millions de Français n'ont pas de mutuelle, trop riches pour
bénéficier de la mutuelle CMU mais trop pauvres pour s'en payer une ? 30% des
Français ont différé leurs soins en 2011 !
 
- Où est la justice sociale quand on sait que 10 millions de fausses cartes Vitale
sont en circulation et permettent de soigner des milliers d'étrangers sous une fausse
identité, au détriment des ayant droit ?
 
- Où est la justice sociale quand la France entretient des milliers de polygames,
certains d'entre eux percevant plus de 10 000 euros par mois sans travailler, alors
que la polygamie est interdite et que nos comptes sociaux sont dans le rouge ?
 
- Où est la justice sociale quand une famille nombreuse étrangère est prioritaire
pour un logement social, alors qu'un jeune couple français doit attendre sept ou huit
ans son premier logement pour avoir un enfant ?
 
- Où est la justice sociale quand on sait qu'un million de faux passeports, donnant
droit à la manne sociale, sont en circulation sur les sept millions de passeports
biométriques soi-disant « infalsifiables » ?
 
- Où est la justice sociale quand un Français né à l'étranger doit prouver sa nationalité
à l'administration, ce qui se traduit souvent par un véritable parcours du combattant,
alors qu'on brade chaque année la nationalité française avec des milliers de mariages
blancs ?
 
- Où est la justice sociale quand on veut donner le droit de vote aux étrangers, alors
que nos élus ont confisqué aux citoyens leur « non » au référendum sur la Constitution
européenne et que des millions d'électeurs, de droite ou de gauche, ne sont pas
représentés au Parlement ?
 
- Où est la justice sociale quand on accueille chaque année plus de 200000 étrangers
non qualifiés, dont notre économie n'a nul besoin, alors que la pauvreté augmente,
que nous avons près de 5 millions de sans emplois et que le chômage atteint déjà 
40% chez la population immigrée ?
 
- Où est la justice sociale quand le contribuable finance des associations qui ne
combattent que le racisme à sens unique alors que le racisme anti français est
systématiquement ignoré et les plaintes classées sans suite ?
 
- Où est la justice sociale quand on condamne un journaliste pour avoir énoncé une
vérité sur la délinquance étrangère, alors que des rappeurs incitant à la haine ne
sont jamais inquiétés au nom de la liberté d'expression ?
 
- Où est la justice sociale quand la délinquance explose et que les droits des voyous
passent avant ceux des victimes ?
 
Car si l'intégration a totalement échoué, c'est tout simplement parce que nos dirigeants
ont confondu anti racisme et acceptation de l'autre, avec le renoncement à nos valeurs.
Il ne fallait rien changer au moule républicain qui a permis depuis des siècles à des
millions d'immigrés de devenir des citoyens français. Les règles d'intégration qui ont
fait leur preuve avec des générations d'immigrés, étaient la force de la République. La
faute majeure de nos élus est de les avoir ignorées.
27 novembre 2012

Comment gagner de l'argent en se syndiquant ?

Grâce à une nouvelle loi, les adhérents à un syndicat peuvent recevoir un chèque sous forme de crédit d'impôt. Ce crédit d'impôt a une valeur égale aux 2/3 de la cotisation.

http://www.boursorama.com/actualites/un-cheque-du-fisc-pour-aider-les-salaries-a-se-syndiquer-92b0da030d7ebb7c815284a075bbdc2b

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14 novembre 2012

Humour

Note : cette blague n'est pas de moi. J'ignore de qui elle provient :

"Je vais vous l'expliquer la crise financière

Explication de la crise financière :

> Marcel est propriétaire d'un bistrot.
> Il réalise soudain que tous ses clients sont des alcoolos qui n'ont pas de boulot et ne peuvent donc plus fréquenter son comptoir, car ils ont vite dilapidé leur RSA.

> Il imagine alors un plan marketing génial : "Picole aujourd'hui, paie plus tard".
> Il tient rigoureusement à jour son ardoise de crédits, ce qui équivaut donc à consentir un prêt à ses clients.

> Chiffre d'affaires et bénéfices explosent et son bistrot devient vite, sur le papier, le plus rentable de la capitale.
> Les brasseurs et grossistes se frottent les mains, et allongent bien volontiers les délais de paiement.
> Les clients de Marcel s'endettant chaque jour davantage acceptent sans rechigner des augmentations régulières du prix du godet, gonflant ainsi (toujours sur papier) les marges du bistrot.

> Le jeune et dynamique représentant de la banque de Marcel, se rendant compte que ce tas de créances constitue en fait des contrats à terme (Futures) et donc un actif, propose des crédits à Marcel avec les créances-clients en garantie.

> Sa trouvaille géniale vaut au banquier visionnaire un plantureux bonus.

> Au siège de la banque, un trader imagine alors un moyen pour se faire de belles commissions: il convertit les dettes en PICOLOBLIGATIONS. Les Picolobligations sont alors "titrisées" (converties en paquets de titres négociables) afin d'être vendues sur le marché à terme.

> Confiants à l'égard de leur banquier et avides de hauts rendements, les clients ne captent pas que ces titres qui leur sont fourgués comme "obligations AAA", ne sont en fait que les créances bidons d'alcoolos feignasses.
> Les Picolobligations deviennent la star des marchés, on se les arrache et leur valeur crève tous les plafonds.
> Un beau matin, un "risk manager" oublié dans les caves de la banque se réveille et signale qu'il est temps de demander à Marcel que ses clients règlent leur ardoise.

> Marcel essaie, mais ses clients ne bossant pas, ... bernique !

> La banque exige alors le remboursement du crédit et le bistrot fait logiquement faillite, vire ses employés entrainant la faillite de ses fournisseurs en bibine qui, à leur tour, virent également leurs employés.

> Le cours des Picolobligations chute brutalement de 90%.
> La dépréciation de cet actif vaporise les actifs et donc les liquidités de la banque. Problemos : sa banqueroute ruinerait trop d'électeurs ("too big to fail" qu'on dit)

> La banque est donc renflouée par l’'État.
> Ce renflouement est financé par de nouvelles taxes prélevées chez des employés, les classes moyennes et un tas de gens qui bossent, ne picolent pas, qui n'ont jamais mis les pieds dans le bistrot du Marcel...
C’'est pourtant pas difficile à comprendre, non ?"

12 novembre 2012

Vidéo explicative sur la situation française :

Enfin un politicien qui semble avoir des connaissances en économie. Faut-il donc croire au miracle ?

Ce qui reste perturbant, c'est que tous les partis alternatifs, de l'UPR au FN en passant par debout la république, ont d'énormes difficultés à obtenir 500 signatures pour les présidentielles. Les médias les réduisent au silence. Le seul atout du FN est que finalement, par certaines de ses idées, il a réussi à faire parler de lui. Parler d'un parti, même en mal, vaut mieux que de ne pas en parler...

A contrario, dans les partis dominants, les politiciens font tous preuve de graves déficiences.

31 octobre 2012

Pendant ce temps, hors des frontières...

Je vais essayer au fil du temps de vous donner des liens sur ce qui se passe à l'étranger. Cela pourra nous permettre de voir nous aussi où nous allons.

30 octobre 2012

L'Europe a scié la branche sur laquelle elle était assise

Les marchés européens fonctionnent à régime minimal lorsque les bourses américaines sont fermées. En outre il est évident que le reste du temps, les bourses européennes ne font que suivre les bourses américaines. Il nous restait à réaliser pourquoi : http://www.boursorama.com/actualites/la-vie-sans-wall-street-ou-la-dependance-de-l-europe-envers-les-etats-unis-cad8ebbd444af4c7479c5e7c14356330.

Ainsi, ce sont les financiers anglo-saxons ( anglais et américains ) qui font fonctionner les marchés européens. Il est vrai qu'il n'y avait plus guère d'investisseurs particuliers en France. A force de se faire traiter de tous les noms, de se faire taxer et de se faire manipuler, les investisseurs particuliers ont quasiment disparu ces dernières années. C'en est fini du bon père de famille qui gérait son patrimoine. Même les investisseurs institutionnels ont été découragés. L'investissement est taxé et critiqué, y compris les PEA, les assurance-vies, les FCPI ou FIP réputés fiscalement intéressants.

Les pieuses promesses concernant la taxation des transactions finançières vont se solder par une nouvelle dégradation de la finance européenne http://lettredamien.canalblog.com/archives/2012/10/09/25294982.html. En effet, contrairement aux promesses faites par les politiciens, soit les banques européennes quitteront l'Europe pour échapper aux taxes, soit elles resteront en Europe et finiront par disparaître, dévorées par les banques étrangères. Cela n'est pourtant pas un scoop puisque la taxation des transactions financières avait déjà échoué dans tous les pays l'ayant essayé. Mais les politiciens européens se croient supérieurs aux autres... Du moins, n'ayant aucun projet et programme économique, ils sont bien forcés de dire quelque chose, même si c'est n'importe quoi !

On comprend mieux la forme du CAC 40 ou des autres indices européens. Les anglo-saxons critiquant l'Europe et l'euro, ils n'investissent pas en Europe voire vendent leurs actions européennes, et donc vendent leurs euros ce qui fait baisser l'euro. Les anglo-saxons préfèrent investir aux USA puisque cela leur paraît plus sûr. Cela soutient le dollar et les indices américains, et procure davantage de croissance et d'emplois. Les USA s'enrichissent ainsi grâce à la finance internationnale qui est draînée aux USA, et les richesses créées favorisent la consommation. Puis, lorsque la confiance revient aux USA, les anglo-saxons pensent que l'Europe va être tirée vers le haut et ils jouent le rebond des marchés européens - très dévalorisés, donc intéressants -. Du coup ils achètent des euros et l'euro remonte. Aussi, l'euro est le yoyo des banques anglo-saxonnes.

Bref la valeur de l'euro est déterminée par les banques anglo-saxonnes, en fonction de leur optimisme ou de leur pessimisme concernant l'économie américaine. La valeur de l'euro a totalement échappé à l'Europe.

L'Europe ne sera donc qu'une économie de seconde zone, tant que la finance européenne sera méprisée par les politiciens européens. Et, la croissance et l'économie européenne restera entre les mains des banques anglo-saxonnes. Ceux qui méprisent la finance en Europe et la font fuir vers l'étranger récoltent ce qu'ils ont semé, à savoir une dépendance de plus en plus forte envers la finance anglo-saxonne, qui se moque bien des licenciements, du chômage, de la pollution ou de la croissance en Europe. L'Europe veut sauver son euro mais elle a donné aux anglo-saxons le pouvoir de décider de son avenir.

Qu'est ce qui pourrait donc faire monter l'euro ? Soit un optimisme extraordinaire des anglo-saxons, mais dans ce cas l'Europe resterait une économie de seconde zone avec le risque de rechuter au moindre doute outre-atlantique. Soit une énorme crise sur le dollar, mais avec le risque à court terme que les banques anglo-saxonnes ne rapatrient tous leurs fonds aux USA, faisant chuter les marchés minuscules en Europe. Soit un changement radical politique en Europe portant la volonté de donner à l'Europe un secteur financier à la hauteur de son économie car une économie ne peut pas prospérer sans secteur financier à la hauteur.

26 octobre 2012

Démarche syndicale

Face aux difficultés économiques et sociales que nous connaissons, le sifra propose une démarche claire et ambitieuse.

1. Connaître l'origine du problème :

Premièrement, le problème de fond de nos sociétés et du monde est l'Etatisme. Les disputes entre la droite et la gauche, le socialisme et le capitalisme sont sans intérêt. Ce sont les Etats qui ont provoqué et aggravé les problèmes de notre système.

Tout d'abord on sait que les Etats profitent directement et indirectement à une fraction de la population et non au peuple dans son ensemble. Par exemple, les premiers à profiter de l'Etatisme sont les politiciens eux-mêmes et leurs collaborateurs. Ensuite les individus en lien avec ces politiciens ( industriels, fonctionnaires, etc... ) peuvent aussi tirer des profits indirects.

De plus, les politiciens prennent des mesures souvent imparfaites, et plus grave, sans connaissance suffisante du sujet qu'ils traitent. Cela aboutit à créer des lois qui posent plus de problèmes qu'elles n'en résolvent. En outre ces lois comportent toujours des failles, des vides juridiques, des imprécisions qui sont exploitées au fil du temps. La sur-règlementation ne parvient qu'à complexifier la vie d'un pays, le rigidifiant et lui faisant perdre son dynamisme, son évolutivité. Les règlementations sont si nombreuses qu'elles ne sont jamais connues totalement ( ni par les industriels, ni par les consommateurs ) et bien souvent impossibles à appliquer. De ce fait de nouveaux problèmes apparaissent. Les politiciens réagissent en créant de nouvelles règlementations qui s'ajoutent aux premières, mais dont les failles sont immédiatement repérées par les spécialistes dans le but très humain d'en tirer profit.

En matière d'économie, le même problème se pose. La crise est la conséquence de l'action des gouvernements, et les gouvernements y réagissent en augmentant le contrôle et le pouvoir du gouvernement. Puis le gouvernement produit de nouvelles erreurs, responsables de nouvelles crises, responsables de nouvelles règlementations, etc...

Il faut quitter ce cercle vicieux.

2. Les réponses politiques :

La règlementation a remplacé le bon sens. La théorie a remplacé l'expérience. Le politicien a remplacé le savant, le sage et l'artisan.

La plupart des pays, comme la France, ont une constitution, dont l'objectif est d'affirmer les droits du peuple et de s'assurer que ces droits ne seront pas bafoués. Cette constitution est écrite PAR le peuple, POUR le peuple. En théorie les pouvoirs judiciaires, législatifs et exécutifs n'ont pas le droit de bafouer la constitution. Mais de nos jours, la constitution est réécrite par les politiciens au pouvoir, sans concertation du peuple, et cela pour des raisons que vous imaginez. Pour information, vous pouvez consulter qui sont les "sages du conseil", titre pompeux s'il en est et qui demande à être justifié : http://www.conseil-constitutionnel.fr/conseil-constitutionnel/francais/le-conseil-constitutionnel/les-membres-du-conseil/liste-des-membres/liste-des-membres-du-conseil-constitutionnel.319.html... En outre sachez que ces sages sont trop peu nombreux ( douze ) pour représenter le peuple. Ils ont une orientation politique : http://www.lemonde.fr/politique/infographie/2010/02/23/qui-sont-les-sages-du-conseil-constitutionnel_1310401_823448.html, et ils sont nommés, ce qui n'est pas très démocratique, n'est-ce pas ? Leur âge moyen en 2007 était de 70 ans.

Le peuple doit donc possèder SA constitution, la connaître et s'assurer qu'elle est respectée.

3. Les conséquences économiques du non respect de la constitution :

De manière résumée, les citoyens se sont vus endettés sans le savoir. Bien entendu, il leur aurait été possible de s'en informer, mais peu de citoyens l'ont fait, par manque de temps, de connaissance, de motivation ou de sagesse. Les citoyens ont préféré croire les promesses rassurantes des politiciens. Ces politiciens étaient présentés au public pour leur apparence rassurante, joviale, sympathique. En contre-partie, sous couvert de belles promesses faites aux citoyens, l'argent des Etats était gaspillé. Puis les Etats ont été endettés de manière outrançière. Puis on a poussé les citoyens à s'endetter à leur tour.

D'ailleurs qui s'est endetté ? Moi ? Vous ? Oui TOUT LE MONDE, même si vous n'avez pas de crédit actuellement dans vote banque. Sachez que la dette française est de 1.963.485.000.000 € et qu'elle augmente d'environ 10 000 € par seconde. S'il vous faut 5 minutes pour lire cette page, alors sachez que dans le même temps VOTRE dette aura augmenté de 3 millions €...La dette publique est de 33.000 € pour chaque Français de 0 à 120 ans ( soit 120.000 € pour un couple avec 2 enfants ).  Et ce qu'il y a d'extraordinaire, c'est que vous n'avez même pas besoin de négocier cela avec votre banquier, ni de signer pour donner vote accord. Les politiciens, puisqu'ils ont été élus par VOS votes le font pour vous. La constitution ? A quoi bon puisque le politicien agit dans l'intérêt du citoyen, c'est bien connu...

Ce qui ennuyeux, c'est que désormais il faut rembourser cette dette. Comme c'est le peuple qui a été endetté, c'est à lui de rembourser. Normal. Et savez-vous ce que les Etats ont trouvé comme solution contre cet endettement ? Eh bien les Etats s'endettent davantage pour rembourser leur dette.

Evidemment on nous dit maintenant qu'il fallait respecter une orthodoxie budgétaire, qu'il ne fallait pas se surendetter. C'est vrai, mais c'est trop tard ! La vérité est qu'il ne fallait pas s'endetter à de tels niveaux, sans penser au remboursement, sans penser à la redistribution des fonds, sans penser à créer de la croissance. Mais en a t'on informé le citoyen ? Certainement que la plupart des citoyens ne se posait pas de question, mais dire que cette méthode est honnête reviendrait à dire qu'il est honnête de pigeonner les personnes âgées sous prétexte qu'elles ont donné leur accord...

L'autre vérité est que maintenant la dette n'est plus remboursable. La rembourser reviendrait à mettre tous les citoyens à la rue, en leur prenant leurs logements, leurs comptes bancaires, leurs biens et leur travail, puis en leur demandant de rembourser ce qui reste.

L'austérité est une aberration désormais. Il fallait la faire avant. Par contre il faut arrêter de s'endetter obstinément. Il faudra aussi un peu d'humilité pour reconnaître cette vérité : les Etats ne peuvent pas rembourser, et donc ils ne rembourseront pas. Tant pis pour les banques qui leur ont prêté. Tant pis pour les personnes âgées qui avaient crû bon de faire des placements rentables via leurs assurances-vie.

4. Conclusion

La crise ne se terminera que lorsque le peuple manifestera son désaccord envers les Etats et exigera le respect de la Constitution. Le peuple devra faire valoir que son endettement a été fait à son insu et qu'il ne peut pas rembourser. Pour sortir de l'impasse, il existe deux solutions : soit la disparition pure et simple de la dette ( ce qui serait à l'origine de nombreuses faillites et ruines ), soit la création monétaire massive des montants à rembourser ( ce qui serait à l'origine d'une forte inflation ). Mais plus on évite de faire ce choix, plus le prix à payer sera fort. lire ce lien

Le peuple devra refuser l'Etatisme ( qu'il soit dit capitaliste, ou socialiste, ou communiste, ou travailliste, etc. ). L'Etat ne doit avoir comme unique rôle que de gérer les pouvoirs législatifs, exécutifs et judiciaires, de manière à ce que ces pouvoirs garantissent le respect de la constitution. L'Etat ne doit pas se mêler de ce qui ne le regarde pas, par exemple l'économie.

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